A l'époque, quand on avait lu tout Enid Blyton et Paul-Jacques Bonzon, les parents et les bibliothécaires qui ne voulaient pas nous faire entrer trop vite dans la lecture "pour les grands" nous autorisaient le "journal d'Anne Frank" et le "sac de billes"... parce qu'il n'y avait pas grand chose d'autres, il faut le dire aussi.
Cependant, ce serait stupide de penser que pour autant, cela n'en valait pas la peine. Cette petite autobiographie en temps de guerre est une bonne entrée en matière sur la vie pendant l'occupation, et sur la vie quotidienne des français à l'époque, tout en préservant les plus jeunes des parties plus terribles de ce conflit.
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